Institut Dr. Furter

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Cas cliniques : Tête

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CC N°017

C. A., 52 ans. Une migraine chronique est diagnostiquée en juillet 98.
Symptômes : migraine persistante avec paresthésie tous les jours à la main droite.
Thérapie : traitée au cou et au dos entre les omoplates pour 5 séances.
Résultats : les migraines ont disparu après 2 traitements. La paresthésie a disparu après le 3ème traitement.
Contrôle : en octobre 2000 pas de récidives.

CC N°018

M., 48 ans. Diagnostic : névralgie trigéminale droite depuis avril 98.
Symptômes : elle souffre depuis 15 ans, et elle a pratiqué toutes les thérapies pharmacologiques possibles sans résultat. Elle n’arrive même pas à manger, parler ou sourire car la crise commence dans une forme douloureuse et violente. Elle pense l’opération chirurgicale afin de se faire sectionner le nerf.
Thérapie : traitée à l’articulation temporal mandibulaire droite jusqu'au menton pour 12 séances hebdomadaires.
Résultats : après la 4ème séance elle parle sans douleur et elle a bien dormi 4 nuits ; dès la 10ème séance elle ne présente plus de symptômes importants et elle est très satisfaite.
Contrôle : en 99 il n’y a plus de problème.
En mai 2000 retour d'une légère douleur, traitée encore par 4 séances. En décembre 2000, elle ne présente pas de symptômes importants et elle va bien.

CC N°020

G. P., 32 ans. Diagnostic : céphalée. Début traitement : mai 98.
Symptômes : céphalée persistante, journalière, résistante à la thérapie pharmacologique.
Thérapie : sur l’occiput droit et gauche et au cou. En tout, 4 séances hebdomadaires.
Les résultats : la céphalée a disparu dès la 2ème séance.
Contrôle : juin 2000 pas de récidive.

CC N°024

Patient de 54 ans. Depuis environ 6 mois il a des épisodes d'amnésie totale d’une durée de 2 heures chacune. Des examens sont réalisés qui ne montrent pas de pathologie. Après plusieurs visites chez des spécialistes et avoir essayé des thérapies pharmacologiques la situation clinique ne s’améliore pas. Interrogé, le patient dit que les crises de son amnésie commencent derrière le haut du cou.
Après six traitements de thérapie manuelle la symptomatologie disparaît complètement.
Actuellement le patient est en bonne santé et n'a plus de crise d'amnésie.

CC N°038

Un cas d'épistaxis et sinusite traité par la méthode Furter.
Monsieur D. vient me consulter le 30.8.1996 pour des douleurs de sinusite chronique et des épistaxis rebelles qui le gênent depuis plus de deux ans.
Il s'agit d1un homme de 70 ans, ancien plongeur professionnel dans la Marine, qui semble accablé dès son entrée dans mon cabinet. Le regard éteint, ne semblant plus savoir que faire pour s’en sortir.
"J'ai consulté trois O.R.L. différents en 6 mois, j'ai été hospitalisé, j'ai eu plusieurs traitements (médicaments et cautérisations) sans succès".
Il a même eu recours au SAMU pour une épistaxis particulièrement importante (sans pour autant avoir eu besoin de transfusion).
Sa sinusite le fait souffrir au niveau frontal et occipital ; des écoulements nasaux surtout postérieurs le gênent considérablement pour respirer, surtout la nuit. Se moucher ne lui dégage absolument pas les voies aériennes.
Ses épistaxis surviennent indépendamment des douleurs, à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, avec ou sans effort physique, à l'intérieur comme à l'extérieur de son domicile dont il ne s'éloigne plus, de peur d'une hémorragie importante.
Je lui fais une séance Furter occipitale et frontale le 2.9, le 9.9, et le 13.9 sans trop de résultat.
Le 25.9, pour la 4ème  séance, il me dit ressentir une très nette amélioration depuis quelques jours : il peut mieux respirer, en se mouchant, il peut évacuer des mucosités et s'il saigne du nez, cela ne dure pas longtemps.
Le 1.11.96, soit un mois et demi plus tard, il n'a saigné qu'une seule fois, et son nez ne se bouche que du côté où il est couché.
Le 3.1.97, "amélioration extra", juste quelques gouttes de sang. Il peut dormir en respirant par le nez. Cela fait des années que ça ne lui était pas arrivé. Séance le 28.2.97, il me dit revivre depuis qu'il vient me consulter et il vient faire une séance pour se "sentir" mieux.
Le 9.12.97, il vient me demander une séance avant son départ en vacances : son nez se bouche un peu du côté où il est allongé, et quand il se mouche fort, il peut avoir quelques gouttes de sang qui strient les mucosités.
Je le vois en fait environ deux fois par an, pour des symptômes maintenant anodins. C'est à mon sens suffisant, en comparaison de ses troubles antérieurs, pour pouvoir parler de succès, et en mono thérapie, avec amélioration de symptômes physiques et psychologiques.

CC N°043

Cheminot de 42 ans sans antécédents particuliers, souffrant de crises de névralgie faciale essentielle. Pathologie très invalidante évoluant par séries de crises, parfois subintrantes sur plusieurs semaines, entrecoupées d'accalmies relatives.
Le patient souffre depuis 15 années et déclare avoir "tout essayé" sans amendement notable sur la fréquence, la durée ou l’intensité des crises. Essai de TEGRETOL* et LAROXYL* en traitements de fond : pas d'effet significatif noté. Divers médicaments utilisés en crise  ACUPAN*,  SOLUMEDROL*, IMIJECT (sumatripan) nécessitant parfois 3-4 injections sur 24 heures.
Traitement manuel : 13 séances crânio-cervicales espacées de 8-10 jours chacune.
Espacement et amendement des crises dès la 4ème séance.
Consolidation obtenue sans traitement complémentaire, avec disparition complète des crises.
Recul de 2 ans.

CC N°062

Melle D. M. est une jeune lycéenne de 17 ans en terminale littéraire. Elle ne peut préparer normalement son bac du fait d’une uvéite très invalidante avec poussées hyper algiques. Le seul traitement proposé par le CHU est palliatif (injections de cortisone dans l’œil) et le chef du service d’ophtalmologie lui dit sans ménagement que son œil gauche est quasiment perdu et que le droit n’est pas mieux et que de toute façon elle terminera aveugle.
Dorsaffa est la nièce d’un confrère du nord de la France, il me l’adresse.
Rapidement, après les premières séances elle peut enfin lire normalement et rattraper son retard.
Quand elle est venue m’annoncer qu’elle était reçue au bac, j’étais aussi fier que si c’était ma fille.

CC N°063

Me D, présente une uvéite. Elle va régulièrement se faire pratiquer des injections de cortisone quand elle a trop mal.
Elle "tombe" enceinte et la cortisone étant contre indiquée, elle cherche une autre solution. Elle va même consulter un spécialiste en Allemagne qui lui propose une greffe de rétine au cas où ça tournerait mal et qu’elle deviendrait aveugle. Il ne lui propose pas de traitement pour l’instant : il fallait attendre.
Une des ses amies me l’adresse.
Au fur et à mesure des séances sa vue s’améliore rapidement, les douleurs s’estompent et sa grossesse se déroule tout à fait normalement.

CC N°064

Me D. est une dynamique retraitée qui est atteinte de cataracte. Comme elle veut pouvoir conduire sa voiture elle se fait rapidement opérer.
Malheureusement le résultat est très mauvais et l’ophtalmologiste lui dit qu’en fait sa rétine est en mauvais état et qu’il n’y a rien à faire et qu’elle deviendra rapidement aveugle.
De ce fait elle se renferme chez elle et fait une forte dépression et ne s’alimente plus.
Par la suite, elle présente un abcès dentaire et consulte le dentiste à qui elle parle de ses problèmes oculaires. Celui-ci me l’adresse.
Rapidement sa vue s’améliore et elle reprend goût à la vie car elle conduit à nouveau sa voiture et elle peut rendre visite à ses amis et sa famille.

CC N°065

Mr. M. P est atteint de glaucome à angle fermé. Le traitement médical n’étant pas suffisamment efficace il est opéré par un ophtalmologue réputé.
Malgré un bon résultat sur la pression intraoculaire, sa vue reste toujours brouillée et les traitements sont sans effet sur ce symptôme.
Je lui traite non seulement les yeux mais aussi la région occipitale. Sa vue s’améliore progressivement et il peut enfin lire et refaire les mots croisés.

CC N°069

M. J. Etudiante, 16 ans.
1ère visite : mars 98. Symptômes : migraines tous les jours depuis six mois.
Thérapie : traitée au cou et au dos : 2 sessions hebdomadaires.
Résultat : les migraines sont disparues dès la 1ère séance.
Récidive en février 99. Après un traitement la migraine redisparait.
Contrôle : jusqu’à maintenant (janvier 2000) aucun problème de migraine.

CC N°070

P. M. Etudiante. 21 ans.
1ère visite : avril 98. Symptômes : depuis 6 années elle présente des céphalées avec fièvre n.d.d.
Elle est traitée dans plusieurs hôpitaux de Rome, sans résultat et sans qu’il soit possible de trouver une étiologie à sa fièvre. Elle souffre de vertiges, acouphènes, inquiétude, asthénie, douleurs à l’épaule droite.
Thérapie : traitée au cou, épaule droite, région frontale.
Résultats : améliorations après la 2ème séance; après la 4ème session, seuls les acouphènes persistent.
Contrôle : en juillet 2000, elle a de très rares épisodes de céphalée et de légers acouphènes.
Elle est très satisfaite : "Depuis 1998 j'ai commencé à revivre".

CC N°072

Q. I., 72 ans.
1ère visite : septembre 98.
Symptômes : vertiges à chaque mouvement au point de n’être plus autonome.
Thérapie : traitement du sterno-cléido-mastoïdien à gauche et à droite ainsi que de la nuque. Trois séances hebdomadaires. Ensuite, en plus, 4 séances de traitement au niveau de la région inter scapulaire.
Résultats : après la 1ère séance elle a retrouvé son autonomie, cependant elle avait peur de marcher seule ; après la 3ème séance elle est complètement autonome.
Contrôle : octobre 2000, elle dit n’avoir pas eu de problèmes.

CC N°076

A. G., 46 ans. Femme au foyer.
1ère visite : mai 99.
Symptôme : céphalée persistante, tous les jours et résistante à la thérapie pharmacologique.
Thérapie : traitée au niveau du cou, 8 fois. Une séance par semaine.
Résultats : après la 3ème séance l'intensité de la céphalée diminue. Après la 4ème séance la céphalée disparaît.
Contrôle : en octobre 99. Céphalée légère pendant le cycle menstruel de septembre. En décembre 2000 : céphalées rares et contrôlées.

CC N°130

Mr. D. M., 65 ans, a été opéré d’un glaucome à angle fermé, de l’œil droit (l’œil gauche est malheureusement perdu).
Malgré une opération réussie, le patient a une vue brouillée du seul œil qui lui reste, il voit flou et il est gêné en permanence par des images flottantes. Je le traite et au bout de 5 séances il dit qu’il peut à nouveau lire et faire des mots croisés et revoir la télévision.

CC N°106

Mme A.B. 37 ans, me dit avoir consulté un gynécologue à cause d’une migraine survenant lors des menstruations. Le gynécologue lui avait dit que la migraine était due aux problèmes hormonaux et elle lui a donné quelques analgésiques forts.
Je demande à la dame : « Est-ce que la migraine apparaît seulement pendant la menstruation ou également en d’autres circonstances ? ». Elle répond : « A dire vrai je la ressent souvent ; ma famille rit de moi parce que, pendant les crises de migraines, je me mets un foulard étroit autour de la tête pour mieux supporter la douleur ».
Je lui demande : « Est-ce qu'il y a quelqu'un dans votre famille qui souffre aussi de migraine ? ». Elle me répond : « Oui, ma mère, mon frère, ma sœur ». Je lui explique que sa migraine est d'origine héréditaire et ne dépend pas du cycle menstruel (argument son frère en souffre aussi !). Je lui demande où elle sent sa douleur de tête. Avec une main elle me signale les tempes. Je commence le traitement avec la « Méthode Furter » aux tempes, sur le front, à la base du crâne et le long des cervicales, une fois par semaine. Après la première séance la dame n'avait plus de mal de tête. Nous avons effectué 4 traitements pour être sûr que pendant le cycle menstruel la dame n’aurait pas eu de migraine.
Dès la première séance la patiente n'a plus souffert de migraine.
Nous avons traité approximativement 150 personnes qui se plaignaient de migraines avec la "Médecine Manuelle du Dr Furter", avec environ 80% de succès. Le nombre de séances a varié entre 3 à 8 avec un cas pour lequel il a fallut 22 séances.

CC N°081

R. G., 43 ans. Employé.
Diagnostic : sinusite chronique. 1ère visite : octobre 99.
Symptômes : nez toujours bouché avec inspiration difficile et céphalée presque tous les jours.
Thérapie: traité à la racine du nez, la pommette droite et gauche, la région frontale : 4 traitements hebdomadaires.
Résultats : après la 1ère séance amélioration de 10% ; après la 2ème séance il respire mieux ; après la 4ème il n'a plus de problèmes, son nez est libre.
Contrôle : octobre 2000. Pas de récidive et respire librement.

CC N°082

V. V., 57 ans. Ouvrier. Diagnostic: vertiges. 1ère visite : octobre 99.
Symptômes : vertiges lors de mouvements, tête engourdie comme si elle était endormie.
Thérapie : traité sur le côté droit et gauche de la nuque et sur le sterno-cléido-mastoïdien gauche. 3 séances hebdomadaires.
Résultats : vertiges diminués après la 1ère séance. Disparaissent après la 3ème séance.
Contrôle : mars 2000. Aucun problème.

CC N°083

C. G., 44 ans. Informateur scientifique. Diagnostic : vertige avec cervicalgies.
1ère visite : juillet 99.
Symptômes : douleurs continuelles au cou et vertiges qui l’empêchent de conduire la voiture.
Thérapie : traité à droite et gauche de la nuque par 3 traitements hebdomadaires.
Résultats : amélioré après la 1ère séance et problèmes supprimés après la 3ème séance.
Contrôle : octobre 2000. Elle est très satisfaite maintenant et elle m’envoie d'autres malades.

CC N°084

A. F., 45 ans. Femme au foyer.
1ère visite : octobre 99.
Symptômes : depuis 25 années elle est épileptique avec 3 à 4 épisodes "d’absences" par jour.
Sous traitement Tegretol.
Alors que je la traite pour une douleur au dos, la famille remarque que les absences sont différentes. (EEG 26.10.99. Conclusions : anomalies de type irritative, de dimension discrète, sur les territoires temporaux).
Thérapie : traitée sur les cotés droit et gauche du dos et du cou, aussi sur la zone du temporal gauche et le front : 7 séances hebdomadaires.
Résultat : après la 3ème séance les absences sont plus brèves et elles sont interrompues si la patiente est stimulée. Après la 5ème séance la patiente rapporte n’avoir eu que 2 épisodes durant la semaine. Après la 7ème séance elle annonce n’avoir que 4 à 6 épisodes par mois.
Contrôle : EEG 29.12.99. Conclusions : modestes anomalies non spécifiques.
20.12.2000 : accuse que 4 à 5 épisodes par mois.

 

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