Institut Dr. Furter

Méthode du Dr. Furter

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Cas cliniques : Appareil locomoteur

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CC N°002

L'enfant C.M. âgée de 10 ans, présente une scoliose lombaire à concavité gauche. Elle est suivie par le CHU de Lille. Devant l'aggravation rapide de cette scoliose (accentuation de l'angle de Cobb, passé à 150 en quelques mois), un corset 3 D a été prescrit, mais la jeune fille ne le porte qu'occasionnellement car mal supporté.
Nous avons appliqué la méthode au niveau du rachis dorsolombaire en insistant aux endroits où nous percevions des contractures et plus particulièrement au niveau de la région lombaire gauche et le muscle carré des lombes qui était le siège d'une contracture importante.
Après une dizaine de séances, le bilan radiographique pratiqué un an après le début des séances montre, de face, une rectitude normale du rachis ; de profil il existe toujours un petit effacement de la cyphose dorsale et de la lordose lombaire physiologique.
Actuellement Magali a 15 ans et sa colonne vertébrale reste droite.

CC N°006

Mme O., 64 ans consulte en août 1999 pour une épine calcanéenne bilatérale bien visible sur les radiographies.
Seul le talon droit est douloureux, au point qu’elle a beaucoup de peine à marcher. Elle vient de consulter un chirurgien qui lui conseille de se faire opérer rapidement.
Toute la zone autour de l’épine calcanéenne droite est très sensible.
2 séances de 20 minutes chacune à ce niveau ont fait complètement disparaître les douleurs, et permis à cette dame de reprendre ses longues promenades dans la montagne.

CC N°009

C.S., 63 ans. Lombalgie chronique à prédominance matinale depuis plusieurs années.
RX : arthrose lombaire, discopathies dégénératives L4-L5-S1.
Amélioration dès la 5ème séance. 8 séances au total. Va bien avec un recul de 6 mois.

CC N°013

G.R., 75 ans. Envoyé par sa fille médecin pour sciatique L5, mais surtout cervico-brachialgie depuis des mois sans amélioration. Avis d’un prof. de chirurgie orthopédique : « canal cervical étroit »
4 séances cervicodorsales : disparition complète des douleurs.
Il revient pour ses lombaires : 4 séances, il va bien.

CC N°015

L.M. vient pour des douleurs et engourdissement des doigts de la main droite la nuit.
EMG : canal carpien
Va mieux en 3 séances. 6 séances au total.
Pas de récidives 5 ans plus tard.

CC N°019

D. E. 57 ans. Syndrome du tunnel carpien. 1ère visite : en février 98.
Les symptômes : incapable de plier les doigts, douleurs persistantes aux avant-bras, ne réussit pas à prendre les objets, paresthésies aux mains.
Thérapie : traitée sur l'éminence thénar et sur les deux avant-bras pour 8 séances, une fois par semaine.
Résultats : dès la 2ème séance tous les symptômes ont diminué ; à la 6ème séance : disparition de tous les symptômes et elle peut refaire tous les mouvements.
Recul : novembre 2000 : la patiente continue d'aller bien.

CC N°021

L. C., 71 ans, retraitée. Douleurs lombaires et sciatique. 1ère visite : en septembre 98.
Symptômes : incapable de marcher à cause de douleurs violentes, localisées au côté droit de la fesse et à la jambe droite.
Thérapie : traitement à la fesse droite et hanche droite, 3 séances à raison d’une par semaine.
Résultats : après la 1ère séance elle peut marcher seule, après la 3ème séance les symptômes ont complètement disparu. Contrôle en septembre 99 : la femme me confirme son bien-être.

CC N°028

Madame X, née le 03/55. Doit bientôt se faire opérer des tendons du poignet et avant bras droit, à cause de tendinite douloureuse et invalidante. Elle est enseignante et écrit souvent au tableau.
Je lui propose la thérapie Furter. Elle accepte, on décommande le chirurgien.
9 séances entre le 01/04/98 et le 10/06/98 au poignet droit, avant bras droit, trapèze droit, épaule droite et même entre les omoplates, mais surtout avant bras droit.
Très bon résultat. Un an et demi de recul.

CC N°029

Monsieur X, né en 1924. Devra se faire opérer du genou droit : douleurs, grosseurs.
Radio : usure importante lésionnelle interne donnant un pincement articulaire interne.
4 séances entre le 12/06/98 et le 03/07/98. Les zones à travailler sont au-dessus et au-dessous du genou en interne. Résultat : beaucoup amélioré.
3 autres séances de 11/98 à 12/98.
Très bon résultat, un an de recul.

CC N°033

Homme de 24 ans, footballeur. Douleurs de la face postérieure de la cuisse : tendinite des ischio-jambiers.
Durée des symptômes : plus de 6 mois. Amélioration par les AINS et le repos et rechute dès l'entraînement.
Application de la méthode Furter sur la face postérieure de la cuisse
Nombre de séance : 4
Résultat : disparition des douleurs.
Recul : 6 ans malgré la reprise du football.

CC N°034

Homme 17 ans et demi. Fracture fermée tibia + péroné au 1/3 moyen inférieur. (Ostéosynthèse par clou verrouillé dynamique supérieur)
Douleurs sus malléolaires et région pré tibiale persistant 14 mois après la consolidation de la fracture.
Douleurs apparaissant lors de la course à pied et sensation de « craquements » malléolaire.
Application de la méthode Furter sur le tiers inférieur de la jambe. Nombre de séances : 4
Résultat: disparition totale des douleurs.
Recul: 2 ans et demi.

CC N°036

Homme de 21 ans, mécanicien, présentant des douleurs de la région lombaire gauche.
Début des troubles depuis plus de 5 ans.
Crises douloureuses rythmées par les activités sportives et les efforts de son activité professionnelle.
Au moins un épisode de lumbago sciatique gauche type L5-SI. Traitements précédents : AINS, myorelaxants, antalgiques, repos, kinésithérapie... avec pour seul résultat une atténuation des symptômes.
Application de la méthode Furter dans la région lombaire et fessière gauche. Nombre de séances : 4.
Résultat : disparition des douleurs. Recul : 3 ans et demi.

Même patient, douleurs thoraciques gauches récentes avec irradiation dans le bras gauche, avec anxiété importante (antécédents familiaux : père IDM)
Application de la méthode sur la région du muscle Grand Pectoral gauche.
Nombre de séances : 4
Résultat : disparition des symptômes. Recul : 2ans et demi.

CC N°040

Monsieur S. C. 45 ans.
Radiographies : début de coxarthrose bilatérale.
Après huit séances sur les muscles lombo-sacrés et le haut des grands fessiers.
Cliniquement : disparition des douleurs.
Radiologiquement : disparition des signes de coxarthrose (radiographies effectuées par le même radiologue).

CC N°041

Madame M.-J. G. 44 ans. TDM du 1er juillet 1999 : volumineuse hernie discale L5 S I gauche, refoulant la racine S 1.
Après cinq séances sur les muscles lombo-sacrés et pyramidal gauche : arrêt des antalgiques et disparition des douleurs.
TDM de novembre 1999 : régression de la hernie discale.

CC N°050

Mme LA, 85 ans, arthrose diffuse, ostéoporose, intolérance aux traitements autres que les antalgiques qui pour elle sont malheureusement d’effet très modeste. Gêne permanente au niveau lombaire bas, prédominante à gauche sur le ligament ilio-lombaire. Radios : insuffisance discale étagée, arthrose inter apophysaire postérieure.
1ère séance douloureuse mais immédiatement efficace, renforcée par 3 autres à une semaine d’intervalle, aboutissant à une disparition de la douleur pendant 3 mois.
Depuis Mme LA est revue occasionnellement dès que réapparaît une douleur à ce niveau, en moyenne tous les 4 à 5 mois.

CC N°051

Mme T.51 ans. Capsulite rétractile d’épaule droite, d’évolution traînante, bloquée en « phase froide », améliorée de façon spectaculaire en 2 séances à 8 jours d’intervalle puis plus lentement en 5 séances avec récupération totale 4 semaines après la dernière séance.
Cette observation invite à penser que le processus d’évolution vers la phase de récupération a été déclenché par les 2 premières séances de thérapie.

CC N°052

Mlle BA. Tendinite du droit antérieur au cours du stage préparatoire au championnat du monde de voltige équestre. La technique de thérapie manuelle utilisée tous les jours, mais avec une intensité modérée, a permis la poursuite de l’entraînement sans modifier le geste technique ni en quantité ni en qualité. La technique a été utilisée une ultime fois la veille de la compétition permettant la réalisation de la performance.

CC N°059

Me S. K. est une sympathique sexagénaire, ancienne institutrice à la retraite, et dont la passion est la randonnée en montagne. Malheureusement pour elle depuis 2 ans, elle ne peut plus marcher car après un effort de soulèvement, elle est atteinte d’une sciatique paralysante hyper algique et invalidante avec steppage du pied gauche.
Elle est suivie depuis ces 2 ans, par un rhumatologue réputé qui à la fin il lui dit : « Je vous hospitalise 2 mois à l’hôpital thermal d’Uriage avec rééducation intensive. Si au bout de cette période vous n’allez pas mieux je vous confierai à un neurochirurgien pour vous opérer. »
Après les 2 mois d’hospitalisation pas de mieux, mais un de ses voisins, sportif de haut niveau que je soigne régulièrement, lui donne mon adresse.
A la fin de la première séance (longue), elle peut lever son pied gauche et marcher sur les talons. Après la troisième séance elle me dit qu’elle a fait 6 kilomètres de marche en montagne. A chaque nouvelle séance une légère amélioration et après une dizaine de séances elle se sent suffisamment bien pour cesser de venir.
Je viens de la revoir après un an. Elle est sans problème. Elle revient car elle a fait une légère rechute douloureuse dans la cuisse gauche après avoir déménagé des meubles, mais sans steppage.

CC N°060

Mr. G. R. est un jeune chercheur brésilien de 32 ans. Il est venu un an en France pour faire une thèse en physique nucléaire au synchrotron de Grenoble. Il a fait un effort en déplaçant des ordinateurs et se trouve complètement bloqué, il ne peut ni s’asseoir ni se tenir allongé. Il vit un enfer du fait de cette sciatique paralysante droite.
Il consulte un rhumatologue et un scanner montre une volumineuse hernie discale contraignante. L’indication opératoire est vite posée par le neurochirurgien correspondant du rhumatologue.
Mr Gu. R est désespéré car il ne pourra terminer sa thèse à temps, perdra donc sa bourse, se retrouvera sans ressources et devra peut-être rembourser le gouvernement brésilien qui avait financé son séjour en France.
Un de ses collègues de laboratoire me l’amène en urgence. Quand il rentre dans mon bureau il refuse de s’asseoir du fait de la douleur.
Je commence la séance tout de suite avec la méthode Furter. Pour passer le temps et lui faire oublier la douleur, je lui pose plein de questions sur le Brésil.
A la fin de la séance, machinalement, sans y penser, il s’assied sur la chaise devant mon bureau pour signer le chèque. Je lui fais remarquer qu’il s’était assis et il n’en revenait pas car cela faisait une semaine que cela ne lui était pas arrivé.
Il est revenu 3 fois en tout et a pu terminer à temps sa thèse.
Avant de retourner dans son Brésil natal, il m’a apporté un magnifique Toucan en porcelaine, symbole de la province du Nord-est dont il est originaire.

CC N°061

Syndrome du canal carpien.
Mr R. D. est un septuagénaire dynamique. Il gère encore une importante exploitation agricole dans la Brie et se passionne pour la vannerie et tout cela malgré plusieurs opérations cardiaques (3 pontages coronariens et un anévrysme de l’aorte, plus complications de phlébites pour lesquelles il doit suivre un traitement anticoagulant).
Il est très gêné par un syndrome du canal carpien droit très invalidant, qui l’empêche de tresser son osier. Les médecins portent l’indication opératoire qui est selon eux la seule solution.
Au vu de ses antécédents et les risques, il est très réticent à se faire opérer. C’est en visite chez sa fille, qui est religieuse dans notre région, qu’il apprend qu’une des religieuses du monastère a été guérie de ce même problème sans opération et dès la première séance par la méthode Furter.
Après le 1er traitement il me dit que pour la première fois depuis de nombreux mois, il a pu enfin dormir normalement. Il fait encore une séance chez moi et ensuite il repart dans la région parisienne.
Il vient de m’écrire qu’il avait fait encore 2 séances, chez un confrère parisien pratiquant la même méthode, et ses médecins ont reconnu qu’il n’était plus nécessaire de pratiquer l’opération.

CC N°067

Mme D. J. est enceinte pour la troisième fois et me dit : «  Docteur, je sais qu’on ne peut rien faire pour mon lumbago, le gynécologue me l’a bien dit, d’ailleurs mes deux précédentes grossesses j’ai du les passer alitée tout le temps ».
Je l’ai traitée malgré l’avis de son gynécologue et elle a pu vaquer à ses occupations pendant toute sa grossesse et accoucher d’un superbe garçon de 3.700 kg en pleine forme.

CC N°096

Tennis Elbow droit suite tournoi en 1997 : arrêt du sport de juin à décembre 1997 (Atépadène, Piasclédine, Ketum, Flexor Tissugel).
La douleur du coude alterne avec celle du poignet ou de l'épaule en fonction du temps humide. Le sport (tennis intensif) est à nouveau impossible ; de plus, un arthro-scanner de l'épaule droite laisse des séquelles douloureuses.
Séance avec la méthode Furter les 19/05/1998, 25/05/1998, 15/06/1998, 16/06/1998, 7/07/1998.
Depuis, il rejoue 9 à 10 heures de tennis par semaine, peut frapper fort. Une petite douleur réapparaît parfois à l'épaule et au coude, mais elle disparaît spontanément s’il frappe un peu moins fort. N'est plus sensible aux variations climatiques.

CC N°119

Mr B. mesure 1.74 et pèse 100 kg. Il présente une sciatique hyper algique L5 droite suite à un effort de soulèvement. Le traitement médical restant inefficace, le scanner prescrit révèle une hernie discale L5 droite qui sera enlevée chirurgicalement en mai 2000. Les suites opératoires sont marquées par une impotence fonctionnelle douloureuse majeure lombo-sciatalgie tronquée à la fesse gauche donc opposée au côté opéré, imposant la restriction de toute activité et nécessitant des antalgiques palier 2 et des AINS quotidiens.
Le 22 septembre 2000 je lui propose une séance selon la technique du Dr Furter. La zone traitée se situe au niveau du pyramidal gauche et dans la zone gauche de la cicatrice opératoire. Revu le 30 09 00, il est amélioré à 60%. Une nouvelle séance a lieu le 17 10 00, l'amélioration est conséquente et Mr B. envisage la possibilité de reprendre son travail, ce qui sera effectif le 18 11 00 après une dernière séance le 13 11 00. Mr B. aura eu au total 4 séances.
Actuellement, M. B revu régulièrement va bien et peut effectuer toutes les activités qu'il désire.

CC N°120

Monsieur M. M., 49 ans, professeur de Mathématiques. A.P. : chute de vélo. Coliques néphrétiques D et G dans les suites d'un traitement par CIBACALCINE. Consultation du 14.02.94 : gonalgies invalidantes. Impossibilité de monter les escaliers, de tenir plus de 10 minutes debout en classe. En 1970, entorses des genoux. En 1972, ménisque-ectomie interne gauche; en 1991, ménisque-ectomie externe gauche. A béquillé pendant 8 mois. Radio : arthrose avancée et algo-dystrophie. Pendant 4 ans, il est amélioré par un traitement homéopathique et ostéopathique. En septembre 1998, il peut monter les escaliers, mais peine encore beaucoup au niveau du genou gauche. J'entreprends, alors, de le traiter par la méthode du Dr FURTER, au niveau du vaste externe et du vaste interne du quadriceps gauche. Après la première séance, il n'a plus de blocage à la marche, le muscle est presque redevenu normal, et deux mois après tout va bien. Le 18 octobre 1999, il revient pour dire « merci ». Il va, à nouveau à la pêche, aux champignons dans les bois, en terrain accidenté, reste une heure debout au tableau, sans problème. L'examen des muscles est normal.

CC N°121

Mr R. R. présente depuis 2 ans une douleur intense du pied gauche avec un important œdème qui le gêne beaucoup pour marcher, tous les traitements essayés jusque là sont inefficaces et je demande une scintigraphie osseuse qui confirme qu’il s’agit bien d’une algo-neurodystrophie réflexe.
Bien que la doctrine en médecine classique soit de ne pas faire de rééducation ni massage, ni aucun traitement physique, je le traite quand même. A ma grande surprise et à la grande satisfaction du patient, dès la première séance, l’œdème disparaît. Dès la 2ième séance le volume de son pied gauche est redevenu identique à celui du pied droit mais surtout la douleur a complètement disparu et le patient remarche tout à fait normalement, ce qu’il n’avait plus fait depuis 2 ans.

CC N°125

Madame L., 41 ans, diabétique insulinodépendante, se plaint depuis de nombreuses années de douleurs aux épaules avec perte importante des mobilités. Déjà explorée, traitée, sans succès (Kiné, anti-inflammatoires). Nous avons débuté par l'épaule droite, la plus atteinte. Après 3 séances, quelques bleus et douleurs, elle a gagné 20° sur les rotations externes et peut lever le bras à 90°. A la 5ème séance, elle revient avec un grand sourire, elle a pu rejouer au basket et marquer son premier panier. Nombre de séances faites sur cette épaule : 6. Nous venons d'attaquer l'épaule gauche ; après 4 séances elle est bien améliorée et nous avons maintenant un recul de 9 mois sur l'épaule droite qui se maintient bien.

CC N°102

S.B.: 65 ans, sexe féminin. Une sciatique la fait souffrir depuis 2 années. Ayant un fils médecin et des bonnes possibilités économiques, elle avait déjà consulté les experts les plus connus en Europe et aux États-Unis. Puisqu'ils lui avaient trouvé une petite hernie discale (si petite que dans un contrôle successif elle avait disparue) elle était attendue aux États-Unis pour une intervention. La malade avait suivi de nombreuses thérapies, même alternatives, pourtant je l'ai connue avec un grand buste clôturé et elle n'était pas toujours capable de marcher pour plus de 40-50 mètres. J'ai commencé à traiter sa jambe droite. Après seulement 2 séances de son propre gré elle a enlevé le buste. Après la 4ième séance elle a marché sans problèmes pour plus d’une heure. À la fin du traitement le résultat était excellent. Une année plus tard le problème réapparaît mais pas si dramatique comme avant. J'ai continué le traitement et la situation c'est à nouveau amélioré. Pourtant je n'ai pas réussi à éliminer une douleur résiduelle qui apparaît dans un point précis de la cuisse quand la patiente marche trop longtemps. Je continue à la traiter, mais j'ai l'impression que le muscle ou tissu conjonctif douloureux est trop profond pour être atteint par le traitement.

CC N°100

B.A., 62 ans, sexe féminin. Diagnostic : arthrite rhumatoïde depuis 22 années. A été traité avec une thérapie de corticostéroïdes et FANS, après avoir utilisé les sels d'or et ciclosporine. La malade est venue à mon cabinet avec béquilles et avec un genou le double plus gros que l'autre. Elle avait été soumise aux infiltrations et aux physiothérapies. La clinique de rhumatologie de l'université lui avait conseillé la chirurgie pour une prothèse au genou. Vu que tous les mouvements du tronc, de la hanche et d'un genou étaient complètement bloqués, j'ai commencé à la traiter sans conviction, presque comme un pari avec moi-même. Après 7 séances au genou la malade est partie sans béquille. Elle a pu marcher normalement et le genou a regagné les dimensions normales de l'autre. Ensuite je lui ai traité aussi le tronc pendant plusieurs séances. A la fin elle a regagné une agilité qu'elle n'avait pas eue depuis des années. Une bosse cervico-dorsale voyante, signe connu d'une longue prise de corticostéroïdes, a aussi été éliminée.

CC N°101

C.G. 42 ans. Diagnostic du médecin orthopédique : spondylarthrite ankylosante. Le malade avait pris pendant beaucoup d’années de la salazopyrine, néanmoins il avait une rachialgie de toute la colonne complète qui lui permettait seulement peu de mouvements et surtout très limités. Dans ce cas, vu que la littérature donne peu de possibilités du pronostic, j'ai eu beaucoup d'hésitation à entreprendre le traitement. Je l'ai traité longtemps (24 séances) sur la hanche gauche et le tronc entier. Pendant le traitement le malade a arrêté de son propre gré la salazopyrine et à la fin il a acquis l’agilité de son âge et sans douleur.

CC N°086

C. S., 4 ans. Diagnostic : ankylose des pouces droit et gauche
1ère visite : février 99.
Symptômes : depuis la naissance les phalanges des pouces ne peuvent pas se courber, le pédiatre avait programmé l'intervention.
Thérapie : traitement des pouces des deux côtés : 8 séances.
Résultat : après la 5ème séance la phalange du pouce gauche se libère et après la 6ème se libère la phalange droite.
Contrôle : 20.12.2000 les 2 pouces fonctionnent parfaitement. Enfant et parents sont plus que satisfaits, et me remercient.

 

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