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Une approche innovante du STRESS
combinée à la Méthode du Dr. Furter pour lutter
efficacement et rapidement contre les effets du stress.
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Les principales localisations du stress
Vous trouverez ci-dessous, les principales localisations du stress et les principaux ressentis et expressions qui les accompagnent.
Ces ressentis et expressions nous ont été dictés par les personnes qui souffrent du stress. Nous les avons regroupés selon les zones où se manifestent ces ressentis.
Vous pouvez découvrir l’approche du stress selon le Dr. Furter (le concept) en cliquant sur ce lien.
Après la lecture de cette rubrique, vous serez en mesure de faire le TEST du Dr. Furter et de vérifier par vous-même que la plupart des personnes (dont vous-même) peuvent localiser les répercutions de leur stress (ou faiblesse, angoisse) à un endroit très précis sur leur corps, qui est spécifique à chaque personne.
Tête Gorge Thorax Ventre Autres
Plus le stress est important, plus les symptômes mentionnés ci-dessous peuvent être intenses.
« Mon insomnie ! ». La personne se réveille généralement entre 2h et 4 h de la nuit, se rendort vers 5 h et elle ne peut se lever le matin tant elle est fatiguée.
« Ma tête fatiguée ». Cette fatigue peut être ressentie soit sur le dessus de la tête, soit au niveau des tempes, ou à l'arrière de la tête et parfois au niveau de la nuque, ou dans les yeux.
« Mes maux de tête », ou « Ma Tête vide », « Ma Tête pleine », « Ma tête lourde », « Ma pauvre tête… », « Ma tête engourdie », « Mes trous de mémoire ».
L'enfant que l’on appelle communément « Tête en l'air » et qui présente des « difficultés de concentration ». Il peut être particulièrement sujet aux cauchemars.
Le ressenti peut être soit « une boule qui ne veut pas descendre », soit « une striction » (cette sensation est très péniblement vécue).
Vous pouvez ressentir « une irritation permanente » (non expliquée) qui peut engendrer « une sensation de plaie » ou « une toux nerveuse ».
Chez les enfants surtout, les toux non expliquées ont la plupart du temps une localisation signalée au niveau de la gorge.
Des personnes disent « Ça me prend à la gorge », ou « J’ai du mal à avaler chaque fois que je stresse ».
Les fumeurs, surtout lorsqu’ils sont stressés, éprouvent un grand besoin de fumer car ça leur procure un soulagement, une profonde détente et un bien-être soit au niveau de la tête, de la gorge, au niveau du thorax, ou en regard du plexus solaire.
« Mon angoisse »
« Ma claustrophobie »
« Mon agoraphobie »
« Je soupire sans cesse »
« Je manque toujours d'air »
« Je n'aime pas faire les achats dans une grande surface »
« J'ai peur des bains de foule ».
« Ma fatigue ». Cette fatigue « thoracique » (contrairement à celle de la tête) est souvent non localisable. Elle fait partie des symptômes dits « muets ». Elle est retenue par élimination des autres fatigues (tête, jambe, dos) qui elles sont facilement localisées par la personne.
« Le besoin de fumer ». Les fumeurs, surtout lorsqu’ils sont stressés, éprouvent un grand besoin de fumer pour la simple raison que la cigarette leur procure un bien-être et une détente. Si vous demandez à ces fumeurs où ils ressentent ce bien-être, ils vous répondront fréquemment soit au niveau de la tête, soit du thorax, soit au niveau de la gorge.
Ventre partie supérieure (au-dessus du nombril)
La personne parle de « crampes » ou de « brûlures », de « vide », de « poids », de « malaise », de « peur au ventre ».
Parfois ces sensations « montent derrière le sternum ». Parfois elles peuvent être « transfixiantes jusque dans le dos ». Certaines personnes parlent d’une « barre » ou d’une « ceinture ».
D'autres ressentent de la « boulimie » ; un besoin impérieux de manger. Cela peut aussi être une impression inverse « pas pouvoir manger » (surtout pour les enfants qui disent « Je n'ai pas faim »).
Les enfants, surtout s'ils sont petits, montrent leur nombril, et ce d'autant plus qu'ils sont en bas âge. Dans ce cas ils parlent de « douleur » (que rien ne justifie). Ils parlent aussi de « peur » ressentie au ventre.
Ventre partie inférieure (en dessous du nombril)
Cela peut très bien se manifester par de la « diarrhée émotive », lors d'examens scolaires ou en cas d'une frayeur quelconque.
Cela peut prendre la forme d'une « constipation » apparaissant à l'occasion d'un changement d'habitude comme un voyage.
Certains problèmes urinaires sont sous la dépendance du stress :
« Je dois aller uriner à tout moment et sans pouvoir attendre » alors qu’il n’existe, rappelons le, aucune infection ni aucune irritation vésicale.
En plus de ces 4 localisations les plus fréquentes, il peut exister des ressentis physiques liés au stress, dans des zones moins courantes.
Le dos :
Certaines personnes, lorsqu’elles sont stressées et/ou fatiguées, ressentent une « gêne », des « douleurs », des « brûlures », des « tensions musculaires » entre les épaules ou au dessus des épaules (au niveau des trapèzes), que ni les radiographies, ni les examens ne justifient et n’expliquent. Ces phénomènes se présentent souvent à un créneau horaire qui est propre à chaque individu. Lorsqu’il s’agit de fatigue, la personne parle de « coups de pompe », comme « des passages à vide » de survenue inexplicable, qui arrivent et repartent comme ils sont venus.
Les jambes :
Le ressenti peut être une fatigue ou des tremblements (« jambes de laine », « jambes en coton »).
Les bras :
« Les bras m'en tombent », « je n'ai plus de forces » (dans les bras ou dans les mains).
Ces localisations ne sont en principe pas de gros sujets de plainte. Elles ne vous rendent pas « la vie impossible ».
Dans 80 % des cas, la personne stressée se reconnaîtra aussitôt.
Mais il peut arriver que le stressé lui-même n'ait pas encore pris conscience de la zone corporelle responsable de son « mal-être ou problème », pour plusieurs raisons :
- Soit parce qu'il est programmé, instruit, à regarder seulement le facteur extérieur qui a déclenché sa souffrance.
- Soit parce qu'il n'est pas encore conscient de l'effet que le stress a sur son corps (par exemple : pourquoi est-ce que je mange tout le temps et particulièrement quand j'ai des contrariétés ?).
- Soit parce qu'il existe des souffrances que nous appelons « muettes » comme avoir la tête vide ou avoir des problèmes de sommeil.
Si vous demandez à ces personnes de s'observer avec plus d'attention, la réponse en général ne tarde pas à être formulée par eux.
Vous connaissez maintenant les principales localisations du stress, vous êtes donc en mesure de faire le TEST du Dr. Furter et de vérifier par vous-même que la plupart des personnes (dont vous-même) peuvent localiser les répercutions de leur stress (ou faiblesse, angoisse) à un endroit très précis sur leur corps, qui est spécifique à chaque personne.
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