Institut Dr. Furter

Méthode du Dr. Furter

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Cas cliniques : Appareil pulmonaire / cardiaque

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CC N°031

P. V., âgée de 63 ans, présente des bronchectasies conséquence d'une coqueluche de l'enfance, connues depuis 1988 et localisées selon le scanner de l'époque, à la pyramide basale gauche. Quand Mme V. me consulte en 1999, elle présente depuis 10 ans une gêne respiratoire chronique, une expectoration très fréquente, des épisodes infectieux multiples et de nombreux bronchospasmes. Un traitement fluidifiant est régulièrement pris, plusieurs cures thermales ont été faites, ainsi que de la kinésithérapie. Une intervention chirurgicale d'exérèse a été proposée à la patiente.
Je lui parle de la méthode de médecine manuelle du Dr Furter. Elle l'accepte et je la traite au niveau du grand pectoral gauche et au niveau des premières vertèbres dorsales et de l'omoplate gauche.
Je la revois 15 jours plus tard. Elle dit que sa gêne respiratoire est nettement moins importante. Elle expectore plus facilement.
Je la traite aux mêmes endroits mais de façon bilatérale.
Je l'ai traitée 6 fois à raison d'une séance tous les 15 jours, au niveau du thorax de façon bilatérale. Progressivement, le volume de l'expectoration a diminué et s'est pratiquement tari. La dyspnée a disparu.
Depuis 1 an, elle n'a présenté aucune infection respiratoire, ni bronchospasme. Tout traitement médicamenteux a été arrêté. La solution chirurgicale est définitivement écartée. J'ai proposé un scanner de contrôle, mais Mme V., trop contente de sa guérison actuelle, ne l'a pas accepté.

CC N°032

J'ai rencontré H. B. en Espagne, pendant mes vacances, en 1997. Il avait 48 ans et vivait à Paris. Il présentait un asthme d'effort systématiquement quand il riait beaucoup, et lorsqu'il jouait au tennis. Ces manifestations étaient apparues à la suite d'un accident de la route, une dizaine d'années auparavant. Il les attribuait au choc psychologique. Aucun spécialiste parisien consulté n'avait pu l'améliorer.
Je l'ai traité une seule fois. J'ai appliqué la méthode au niveau du pectoral droit et dans la gouttière para vertébrale droite.
Dès le lendemain, Henri fut surpris de pouvoir jouer au tennis sans problème. Le surlendemain fut pareil, et tous les jours de vacances qui lui restaient. De plus, son rire n’était plus suivi de bronchospasme.
Henri m'a téléphoné 9 mois plus tard pour me remercier car jusque-là, il refusait de croire à une guérison aussi merveilleuse.

CC N° 035

Femme de 38 ans, elle présente des accès de toux survenant par crises, de jour et de nuit depuis l’âge de 15 ans environ. Survenue des accès pendant plusieurs semaines ou mois, sans régularité ; début et fin brusques.
Bilan effectué dès l’adolescence : radios et tests divers aux résultats normaux. Echec de tous les traitements médicamenteux entrepris, sauf ATARAX (Hydroxyzine) à la posologie moyenne quotidienne de 50 mg, qui permet de diminuer et d’écourter les accès. (sans pour autant les faire disparaître).
Application de la méthode dans la région cervicale antérieure. Nombre de séance : 6.
Résultat : disparition de la toux. Recul : 11 mois.

CC N°036

Homme de 21 ans, mécanicien.
Douleurs thoraciques gauches récentes avec irradiation dans le bras gauche, avec anxiété importante (antécédents familiaux : père infarctus du myocarde).
Application de la méthode sur la région du muscle Grand Pectoral gauche.
Nombre de séances : 4.
Résultat: disparition des symptômes. Recul : 2 ans et demi.

CC N°042

Boucher de 38 ans sans antécédent particulier. Présente une hypertension "essentielle" depuis 2 ans, découverte lors d’une poussée paroxystique à 180/115. Tension traitée par Bêta-bloquant (SOPROL) puis inhibiteurs calciques (ISOPTINE).
Traitement manuel : 12 séances cervicales et crâniennes.
Résultat : normalisation de la tension artérielle de façon stable (Hypotension sous conservation du traitement médicamenteux). Recul : 4 ans sans traitement complémentaire ni rechute.

CC N°046

C. F. homme de 71 ans, grand fumeur. Il a eu un infarctus du myocarde en 1979 et en 1983. Il a été opéré en 1988 d’un By-pass aorto-fémoral droit pour une sténose importante à ce niveau. Le patient présentait aussi des sténoses périphériques à la jambe droite. Il est venu me consulter en 1991 pour une artérite qui lui permettait une déambulation de seulement 200-300 mètres.
Un Doppler de la même année décelait une sténose fémoro-poplitée à droite avec une importante réduction du flux périphérique et absence du pouls sur la tibiale antérieure et sur la pédieuse.
Il présentait une douleur crampoide au mollet droit et sur le coté intérieure de la cuisse droite.
J’ai commencé à le traiter avec la méthode Furter : massage sur le côté intérieur de la cuisse et au mollet à droite, trois séances à raison d’une fois toutes les trois semaines tout en poursuivant son traitement antérieur.
Le patient a commencé à marcher mieux et il arrive à faire 500 à 600 mètres sans douleur.
Je continue le traitement avec une séance tous les mois pendant 4 mois.
Depuis, le patient marche un kilomètre sans problème et il a repris à jouer aux boules.
Je lui conseille de ne pas arrêter complètement le traitement et lui propose de le revoir 4 fois par an (tous les trois mois).
En 1996 le Doppler n’a pas varié.
Le Doppler fait en 1997 présente une sténose fémoro poplité modérée, absence de flux à la tibiale antérieure et à la pédieuse.
Je continue à le traiter tous les trois mois. Le patient marche tant qu’il veut mais il ne peut pas courir, car dans cette circonstance la claudication apparaît à nouveau.
Le patient est satisfait de sa condition.
En 1998 le traitement se fait une fois tous les six mois et le patient prend toujours son acénocumarol.
Doppler du 2000 : artère du membre inférieur droit avec une discrète vitesse du flux, il y a des sténoses segmentaires diffuses non hémodynamiquement significatives. Absence de flux à la tibiale antérieure et à la pédieuse droite.
Je revoie le patient au mois de décembre 2000, il va toujours bien  et continue avec l’acénocumarol.

CC N°049

Mr C. L. né en 1931. Antécédents : ulcère duodénal en 1964 plus une dépression nerveuse.
Double pontage coronarien, artérite, psoriasis. Périmètre de marche = 200 mètres.
Consulte le 28 septembre 1998 pour une douleur invalidante sous la plante du pied gauche et des crampes empêchant toute marche.
Après 3 séances (28/09/98 ; 6/10/98 ; 17/11/98) il peut marcher et piétiner, il reste encore le problème des crampes.
Le 7/1/99 renversé par une voiture, fracture du gros orteil gauche. Après consolidation il revient le 6/7/99 pour une douleur du mollet droit d’origine artérielle. Les pouls sont très faibles.
Séances les 6/7/99, 22/7/99, 19/8/99 ; le 21/9/99.
Son périmètre de marche est passé à 1,5 Km au lieu de 200 mètres. Traitement pharmacologique suivi : Ticlid Fonzylane Fluodil.

CC N°066

Mme D. P. est une infirmière qui, suite à un vaccin DTTAB, présente une Glomérulonéphrite qui entraîne une hypertension artérielle avec troubles du rythme cardiaque.
Le traitement Bêta-bloquant est très mal supporté et sans effet thérapeutique. Après quelques séances avec la méthode Furter les troubles du rythme ont disparu et la tension artérielle est parfaitement normalisée sans aucun traitement médical.
Le résultat se maintient depuis plusieurs années sans aucun remède.
Cet exemple montre bien que même dans les hypertensions artérielles secondaires le traitement est efficace et durable.
Je ne compte plus le nombre d’hypertensions artérielles essentielles qui ont été  améliorées et guéries par le traitement.

CC N°068

Mr A. M. est un septuagénaire retraité, hypertendu, fumeur, qui présente une artérite bilatérale invalidante. Il subit un double pontage fémoro-iliaque. L’opération est parfaitement réussie et son angiologue lui conseille de marcher beaucoup pour favoriser la circulation collatérale mais Mr M. présente des douleurs inguinales bilatérales très importantes. Je constate deux tuméfactions dures au niveau des cicatrices. Les examens ne sont pas concluants, le chirurgien et l’angiologue sont perplexes et ne proposent aucun traitement.
Devant la carence de solution « j’essaie » la technique Furter… à la grande satisfaction du patient qui peut rapidement remarcher normalement.
A ce jour, 5 ans après, ses pontages fonctionnent parfaitement et il continue à marcher sans problème.

CC N°128

M B. 68 ans. Artérite des membres inférieurs.
Patient tabagique, présentant depuis 4 mois une artérite bilatérale des membres inférieurs, avec périmètre de marche à 150 m environ et douleurs de décubitus, prédominant à gauche.
A l’examen : pouls distaux non perçus. Pas d'indication opératoire. Sous traitement vasodilatateur. Consulte pour essayer de soulager ses douleurs des mollets avec sensations de crampes malgré le traitement médicamenteux. Les zones traitées manuellement sont les zones douloureuses indiquées par le patient à savoir les 2 mollets. Les 3 premières séances s'avèrent difficiles car le patient ressent douloureusement les massages et il s'agite beaucoup. Après la 4ème séance, faite dans des conditions plus paisibles, on note une amélioration qui va en se confirmant au fil des séances suivantes.
Le périmètre de marche passe à 1000 m. et la qualité du sommeil s'améliore, le patient reprend ses activités habituelles : marche quotidienne, jardinage. A sa demande, on réalise une séance "d'entretien" toutes les 6 semaines à 2 mois et l'amélioration obtenue se maintient à ce jour. (3 ans).

CC N°113

P. K. 25 ans se plaint fréquemment de vertige, tête vide, concentration difficile, arythmie et tachycardie paroxystique.
La malade localise intuitivement l'origine des problèmes dans la tête et la région du cœur.
Par conséquent, nous avons vérifié les régions indiquées avec la thérapie manuelle et nous avons commencé à traiter les zones douloureuses avec le concept de la thérapie.
Après le 3ème traitement elle a déjà eu un soulagement général perceptible.
Après le 5ème traitement la patiente réfère un changement presque total de ses symptômes. Par sécurité, nous avons pratiqué une séance en plus afin d’assurer la présente condition. La thérapie était hebdomadaire.
La malade est jusqu'à aujourd'hui, 4 mois après traitement, sans rechutes. La jeune femme se sent bien et n’a pas de problèmes.
Elle dit : « Le travail est une source de joie et le stress devient clairement mieux toléré maintenant ».

CC N°107

Une de mes patientes, Mme B. G. 72 ans, souffrait depuis des mois de problèmes cardiaques (tachycardie, palpitations, dyspnée, modification de la tension artérielle, vertiges périodiques). Je l'avais visitée plusieurs fois pour ne trouver aucune maladie organique (examens RX, ECG, etc.). Donc, j'avais diagnostiqué « problèmes psychosomatiques » sans aucune amélioration. Elle m’avait signalé une zone un peu enflée et douloureuse sur le thorax gauche, dans la région cardiaque. Je lui avais dit de ne pas s'inquiéter parce que c'était une tension musculaire simple. Après avoir appris la " Médecine Manuelle du Dr Furter ", j'ai eu l'occasion de la revoir. Elle se plaignait toujours des mêmes problèmes. La première chose que je lui ai dit : " Mme, vous avez raison de vous plaindre ; maintenant, je pense pouvoir vous aider, nous utiliserons une autre thérapie ".
J’ai pratiqué 3 séances de médecine manuelle sur la zone dont la dame se plaignait (thorax antérieur gauche dans la zone para cardiaque) et tous ses problèmes ont disparus.
J’ai traité environ 30 cas semblables ; le nombre des séances a été en moyenne de 4, avec autour 90% de succès.

CC N°098

Femme de 65 ans, elle vient à mon cabinet sur les conseils d'une amie que j'ai traitée pour céphalée.
À la première visite la malade commence à décrire son symptôme principal : « Docteur, mon souffle, je suffoque et je manque d'air ». Elle me parle en portant la main droite sur la poitrine. « Je réussis à respirer un peu, seulement si je m'assois sur mon divan. Personne ne me croit, depuis 11 ans je prends beaucoup d'hypnotiques et euphorisants parce que tous les médecins consultés disent que je suis stressée, déprimée et inquiète. J'ai aussi perdu le contact avec mes enfants parce qu'ils me font des reproches. Ils disent que j'exagère et que je ne réagis pas, mais moi, docteur, je me sens si mal, je n’ai pas de souffle et j'ai la terreur quand il y a des tempêtes et que le ciel  devient sombre. La première chose que je fais, avant de sortir, est de regarder le temps parce que s'il pleut ou si le ciel est noir je reste à la maison. Je dois toujours être accompagnée par quelqu'un».
Après avoir expliqué à la malade ce qu’est la méthode Furter, nous avons commencé le traitement. Après 8 séances sur la poitrine, plexus et sur la zone cervicale dorsale, la situation est retournée à la normalité et la malade dit qu’elle a complètement changé.

 

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